Sommaire
- Jour J – Top Départ
- Jour 1 – L’entraînement commence
- Jour 2 – Premier entraînement dominical
- Jour 3 – Journée sous le signe de la fatigue
- Jour 4 – De la pluie et de la sueur
- Jour 5 – De l’enfer au Paradis
- Jour 6 – Dernier entraînement avec Izhar et Alif
- Jour 7 – Programme très chargé
- Jour 8 – Jour de fête et retrouvailles
- Jour 9 – La journée des répétitions
- Jour 10 – Sous les projecteurs
Carnet du jour
Avant de rentrer dans le vif du sujet, je tiens à remercier les gens qui nous suivent chaque année depuis notre premier carnet de voyage,
et je tiens également à souhaiter la bienvenue à ceux qui découvrent nos aventures.
Voilà… ça, c’est fait 🙂
Je peux maintenant attaquer notre Carnet de Voyage Edition 2014 !
Et bien curieusement, cette année, aucun problème au départ : Pas de retard des participants au rendez-vous à l’aéroport Charles de Gaulle, pas de problème de passeport dont l’authenticité est remise en doute par les « charmantes » hôtesses d’accueil de l’aéroport sus-mentionné, ni rien.
De plus, avec les récents événements survenus avec la Malaysia Airlines (puisque nous voyageons toujours avec eux), nous ne faisons la queue nulle part : Ni aux douanes, ni aux contrôles avant l’embarquement, ni à l’embarquement lui même.
En fait, l’A380 dans lequel nous nous installons est quasiment vide ! Nous pouvons donc nous poser où nous voulons, voire prendre une rangée du milieu ou sur les côtés pour nous improviser un petit lit d’appoint.
Pendant le trajet, rien à signaler si ce n’est un gros (très gros) trou d’air au-dessus des îles Andaman, qui en a fait hurler quelques-uns dans la carlingue.
Les douze heures d’avion passent relativement vite et nous atterrissons vers 6h30 à Kuala Lumpur.
Comme pour l’embarquement, les contrôles à la douane se font rapidement (vu qu’il n’y avait personne dans l’avion) et nous récupérons nos bagages sans encombres.
Nous voilà donc devant la Porte 4 du hall d’arrivées. Nous attendons Raju (pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore, c’est notre chauffeur et copain depuis la première heure) avec qui nous avons convenu qu’il vienne nous prendre à 7h30.
Avec un peu de retard (normal 😉 ), nous le voyons débarquer au volant d’un taxi (???), accompagné par un de ses collègues dans une autre voiture. Il nous apprend alors qu’il a quitté son poste de chauffeur de l’hôtel Prescott Inn, pour cause de pré-retraite, et qu’il s’essaye désormais au métier de taxi.
Nous calons tant bien que mal nos bagages dans les coffres et sièges passagers des deux véhicules, qui ne sont clairement pas conçus pour accueillir des valises aussi encombrantes que les nôtres, et empruntons l’autoroute, direction Kajang.
Le trajet jusqu’à l’hôtel se fait rapidement (en même temps, quand on dort, ça passe plus vite).
Une fois arrivés, nous constatons qu’il y a eu de gros changements dans l’hôtel. Nous étions en effet partis l’année dernière juste avant le début des travaux de rénovation du grand hall : L’ambiance y est maintenant très « lounge » et dénote considérablement avec l’esprit « hôtel de passe un peu chic » qui imprégnait les lieux lors de nos premiers voyages.
Mais pas le temps de nous reposer, puisque nous filons tout droit chez Sri Pandi, notre cantine indienne située à une cinquantaine de mètres de l’hôtel, pour y prendre notre petit déjeuner en compagnie de Raju et de son collègue.
Ah, les joies de prendre un teh tarik dans une atmosphère lourde et humide sentant le graillon, tout ça après 12h d’avion et 6h de décalage horaire… Même s’il ne goûte pas son plaisir, les intestins de Jérôme tiennent à faire savoir que c’est un peu « too much » pour une première matinée… Du coup, retour précipité à l’hôtel.
Une fois ce petit problème intestinal réglé, nous passons en mode « black out » pendant quelques heures.
Lorsque je rouvre les yeux, je vois Jérôme, mon binôme de chambrine, rentrer d’une séance de massage au centre commercial avec Maître Raban. Ce-dernier y a oublié ses lunettes, téléphone portable et montre. Nous y retournons donc et en profitons pour faire quelques achats de première nécessité : Lessive, gel douche, etc.
Nous repassons au salon de massage où, coup de chance, les effets oubliés par Maître Raban n’ont pas bougé de leur place.
De retour à l’hôtel, nous rencontrons Izhar venu prendre de nos nouvelles. Nous buvons un verre ensemble puis nous partons chez Anjung (notre seconde cantine à Kajang) pour l’inviter à manger un morceau.
Il nous apprend que Cikgu Halim est en déplacement dans l’état de Perlis jusqu’au 29 mai ; Il accompagne plusieurs de ses élèves à une compétition à laquelle nous devions initialement participer mais, faute de calendrier et de trajet (Perlis est à plus de 500 Km en voiture), nous ne pouvons nous y rendre.
Nous nous entraînerons donc sans Cikgu Halim mais avec ses élèves les plus gradés le temps de son voyage. Nous réglons les derniers détails pour le premier entraînement et le quittons pour retourner à l’hôtel.
Une fois rentrés, décalage horaire oblige, nous ne nous sentons pas fatigués et décidons de ressortir et d’aller faire un tour du côté du stade où se déroule un match de foot local. Le temps étant assez frais, nous restons une petite demi-heure à regarder les deux équipes s’affronter avant de rentrer pour nous coucher.
Demain, on commence les choses sérieuses !
Galerie du jour
Vidéo du jour
Il n’y aura malheureusement pas de vidéo pour cette première journée. Votre serviteur a malencontreusement effacé toutes les prises qu’il avait fait à l’aéroport de Kuala Lumpur et à l’hôtel… On se rattrapera demain, promis !